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VfB Stuttgart

Germinal Ekeren

 
8e match européen du Germinal Ekeren (en 1999 devient Germinal Beerschot Antwerpen)
 
1/8 de finale de la Coupe des vainqueurs de coupe 1997-98. (Match retour, le 6/11/1997)
 
 
     
 
 
 
 
 
 
 
Rudy Moury (53e Tom Vandervee)
 
Laurent Dauwe (39e Manu Karagiannis)
Gerhard Poschner (58e Matthias Hagner)
 
Krisztian Lisztes (76e Jochen Endress)
 
 
Jonathan Akpoborie (85e Kristijan Djordjevic)
 
Mihaly Toth (66e Tomasz Radzinski)
 
Jochen Endress (rentre à la 76e)
 
Tom Vandervee (rentre à la 53e)
Matthias Hagner (rentre à la 58e)
 
Manu Karagiannis (rentre à la 39e)
Kristijan Djordjevic (rentre à la 85e)
 
 
 
Tomasz Radzinski (rentre à la 66e)
       
 
 
 Buts :


12e Frank Verlaat (1-0), 34e Gerhard Poschner (2-0), 43e Edwin van Ankeren (1-2), 45e Ronny Van
Geneugden (2-2), 72e Manu Karagiannis (2-3), 82e Edwin van Ankeren (2-4).

 
 Carte
 Jaune
:

10e Rudy Moury, 90e Marc Schaessens.


 
 Carte
 Rouge
:

44e Murat Yakin (exclu pour une faute sur joueur du Germinal Ekeren).


 
 Arbitre :
 Stade :
M. Pierluigi Pairetto

Gottlieb-Daimler-Stadion à Stuttgart. (10.800 spectateurs)
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LA REACTION D'ORGUEIL ETAIT VAINE (Le Soir du 7 novembre 1997)

Les Anversois ne nourissaient, en toute logique, plus guère d'espoirs à l'heure d'effectuer ce déplacement, si ce n'était celui de laver l'affront du match aller. Cependant, treize minutes de jeu à peine et Frank Verlaat, d'un coup de tête précis, envoyait déjà le ballon dans les filets de l'infortuné Moons. A la demi-heure, Poschner, idéalement servi par Lisztes doubla la mise comme à la parade. On commençait à craindre le pire pour les hommes de Helleputte, lequel s'était, en vue du prochain match contre Lommel, passé des services de Milosevic, Radzinski, Vandervee et Karagiannis. Ce dernier dut cependant monter au jeu juste avant la pause pour remplacer Dauwe, blessé au coude. Ce remplacement coïncida avec un beau sursaut d'orgueil des Anversois qui égalisèrent, en l'espace de deux minutes, par Van Ankeren puis Van Geneugden, auteur d'un coup-franc imparable après une faute de Yakin qui valut à celui-ci une rentrée prématurée au vestiaire.

A un quart d'heure de la fin du match, Karagiannis concrétisa enfin la supériorité numérique de son équipe. C'était mérité pour les Ekerenois qui ne baissèrent jamais les bras au cours de cette rencontre. Van Ankeren, le meilleur homme sur le terrain, donna même en fin de match une allure encore plus flatteuse au score. Encore deux buts et les hommes de Helleputte forçaient la qualification ! On se mit à rêver d'un possible exploit mais il était trop tard. Qu'importe ! Ils avaient forcé le respect des Allemands. Un privilège rare par les temps qui courent...

N.C. (Journal Le Soir du 7 novembre 1997)

Source : Les archives du journal Le Soir